Ces chroniques politiques sont parues dans Cerises en contrepoint d’un article de presse, d’un fait de société ou d’actualité. Un petit livre les rassemble dans un panier. Les relisant dans le calme d’un été, je me suis pris à en préférer une : celle sur Jean Ferrat. Peut-être parce qu’en plus d’y parler de ce monde capitaliste sans rivages et du combat infini pour en changer, il est aussi question d’amour et de poésie.
Philippe STIERLIN – sept. 2010
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